C’est sur une voie d’autoroute baignée de pluie que je viens de découvrir l’album Let them eat chaos de Kate Tempest et j’avoue que c’est une très belle façon de s’imprégner du flow de la rappeuse anglaise qui me fait sortir de ma zone de confort ambient.drone.post-rock.electronic. La première écoute m’a fait penser à Ordinary Man de Day One (qui remonte quand même à… 1999) ou encore au spoken word de Mike Skinner, mais avec plus de rage, plus sombre et plus engagé.